Midnighters' Eyes
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Midnighters' Eyes

Seattle By Night, en ce moment... Ca craint. Bah... Entre Vampires, Lycanthropes et Sorciers Renégats, il vaut mieux éviter certains quartiers... Vous croyez que ça n'existe pas ? Vous avez tort.
 
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 June Blade [En construction] - Sorcière.

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AuteurMessage
June Blade

June Blade


Féminin
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Age : 26
Pseudo : June Blade.
Emploi : Detective privée/Musicienne indépendante.
Date d'inscription : 03/09/2013

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MessageSujet: June Blade [En construction] - Sorcière.   June Blade [En construction] - Sorcière. EmptyMar 3 Sep - 17:41

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"Qui ne tente rien... n'a rien."

"Déclinez votre identité."
(remplacez les mots par vos infos)

    Blade June.
    Un Surnom ? Ju'
    12 Mars 1922
    Anglaise

"Dites-m'en plus. Officieusement. Bien sûr."

    "Parlez-moi de votre vie."

    Je suis née à Londres, le 12 mars 1922 sous un beau jour de printemps. Ma famille était la plus heureuse à ma naissance, c’était mon bonheur.
    Ce qui a frappé mes parents, se sont la couleur de ma peau et des éclats qu’émettent mes yeux. J’ai très vite appris que mon père était un vampire et ma mère une sorcière. Et de mon paternel, je n’ai hérité que quelques de ses caractéristiques physiques qui prouvaient son origine. C’est comme si j’ai l’apparence d’un vampire qui avait pris sa forme vampirique, mais moi c’est constant et juste physique. Je n’ai pas des canines ni rien, juste cette couleur d’iris et cette pâleur de peau. Je me considère donc comme une sorcière à part entière... enfin, si j’exclue le fait que la viande saignante j’adore ça.

    J’ai passé les dix premières années de ma vie à Londres, dans une famille plutôt aisée mais bienveillante. Le seul malheur que nous avons subit, c’est la perte de mon grand père lors de la Première Guerre mondiale et nous redoutions un peu plus chaque jour l’autorité d’Hitler. Surtout depuis les années trente, mais je ne vois pas pourquoi.
    En 1938, mon père (James Blade) a subitement pris la décision de partir en Egypte, et ce pour mon plus grand bonheur. James était un archéologue fanatique de l’histoire des égyptiens, il m’a retransmit sa passion durant ma jeunesse. Et en partant pour les pays arides, nous avons évité les désastres le la Seconde Guerre mondiale.

    Arrivée dans la ville du Caire, je me suis précipité pour admirer les magnifiques pyramides comme celle de Chéops ou encore le Sphinx. Et à cette époque, les sites archéologiques surplombaient  les trois quart du pays. J’étais la plus heureuse des fillettes à leur papa, rien ne pouvait me faire plus plaisir. Je voulais tout voir et tout comprendre, mais mes parents m’ont formellement interdit de fouiller dans les temples en pleine nuit. Et bien sûr, j’ai bravé ces règles et voulu regarder de plus près le Sphinx.
    Cette fois il n’y aurait personne, pas d’ouvrier ni de scientifique ! J’étais toute seule, et il m’était très facile de dévier les quelques gardes. J’ai donc pénétré dans l’antre de la grande statue, par une petite fente qu’avait découvert un paysan durant la journée pendant sa pause midi. Mais personne ne s’y était aventuré, de peu d’être frappé par la malédiction du pharaon. Foutaise ! Ces choses là, moi je n’y crois pas une seule seconde, et d’ailleurs rien ne m’est arrivé de mortel jusqu’ici.

    Après avoir longée les interminables couloirs poussiéreux du Sphinx, ma lanterne faiblissait de plus en plus. Le froid me martelait tout les nerfs de mon corps, et j’avais de plus en plus de mal a respirer pour une raison méconnue. Et en prime, une sensation d’oppression me frappait le plexus et l’esprit un peu plus à chaque pas… je devrais avoir peur ?
    Mon instinct me hurlait de rebrousser chemin, que ces dalles de pierre et gravures sur les murs n’étaient pas ce qu’elles prétendaient être. Quelque chose de terrifiant se cachait derrière cette grande porte en marbre noire, qui faisait tâche par rapport aux pierres à la teinte de sable. Que faisait-elle là d’ailleurs ? Pourquoi cette porte avait subitement pris forme juste à quelques mètres de mon être ? Aurais-je dû me méfier de cette aura noire qui s’écoulait de cette entrée, et du brouillard qui avait subitement pris forme tout autour de moi ? Oh oui…
    Je me souviens avoir ouvert ce portail, et puis… plus rien. La seule chose qui me reste, c’est cette sensation de stupeur et d’horreur.

    J’ai repris connaissance dans ma tente, mais je n’étais plus moi-même. Quelque chose de mon âme y étaie restée, quelque chose s’étaie brisée. Et c’est là, à mon chevet que se tenait un œuf qui flamboyait de mille feux. Mes yeux s’étaient écarquillés de surprise, mais je n’avais pu continuer plus longtemps à le contempler que des nausées s’étaient épris de mon corps. Une douleur me frappait la poitrine, j’avais très froid et très chaud. Je n’avais pu retenir un cri strident, mes parents ont accouru. Je me débattais comme je le pouvais, en vain, mon paternel a su m’immobiliser. Des convulsions bombardaient mon organisme, du sang noir pailleté d’argent s’écoulait de mes yeux, oreilles, nez et bouche. Je souffrais comme jamais, et hurlais à en faire trembler les limbes.
    J’entendais des choses comme «_ C’est la malédiction… ! » ou encore « _ La fille du professeur va mourir… tout est fini… », de la part des ouvriers trop curieux. Pour ma part, malgré la souffrance, mes pensées étaient claires comme de l’eau de roche. Et une fois ma crise passée, les jours passèrent où mon état fiévreux empirait. Il n’y avait plus rien à faire, et aucune personne ne semblait remarquer l’œuf sur ma table de nuit.

    On me faisait absorber des calmants à en faire une overdose, cela marchait plus ou moins selon les jours. Mais je ne dormais plus malgré ma fatigue, j’étais fascinée par cet œuf. Je ne cessais de le contempler chaque nuit, et c’est dans l’une d’elles, qu’il finit par éclore. Non pas comme un petit oiseau normal, mais comme une explosion titanesque de lumières. Je ne criais pas, je fermais juste les yeux et me laissais bercer par cette torpeur méconnue, qui avait effacé ma souffrance. Quand je rouvris les yeux, je n’étais plus dans ma miteuse tente en toile grise, mais dans les cieux. J’étais allongée au milieu d’un amas de flammes dorées, je ne brûlais pas… je n’avais plus peur. C’est comme-ci j’avais retrouvé ce qui me manquait, à un tel point que j’en oublie tout ce que j’ai vécu jusqu’ici. J’avais abandonné ma famille et tout ce en quoi je croyais, ils… je ne sais pas, pour moi ils n’avaient plus d’importance.

    Maintenant, ma famille c’était cet oiseau, ce phœnix : Leech. Je devais garder un secret qu’il recèle en lui, j’en suis le sceau. La légende me nommait la « Gardienne », à cause de ma mission. Mais je ne lui accordais pas une priorité importante, je voulais à tout prix savoir ce qu’il s’est passé derrière cette porte de marbre noire. Elle ne vient pas d’Egypte, alors je suis devenue détective pour découvrir ce mystère. Toutefois, je voulais d’abord trouver une famille très influente ou une personne, afin d’avoir la conscience que Leech serait entre de bonnes mains et que je retransmettrais le flambeau si jamais il m’arrivait quelque chose.

    "Décrivez-vous psychologiquement."

    Sur mon état psychique… Je n’ai pas vraiment d’attache relationnelle, et personne n’a cherché jusqu’ici à lier des liens avec ma petite personne. Je ne me considère pas spécialement froide comme fille, même si je suis assez solitaire. Mais que diriez-vous ? Les gens n’approchent pas le genre de personne que je suis. Mais je n’y prête attention, ce sont leurs problèmes et pas les miens. Et en plus, ils me laissent tranquille. Super, non ?
    Les gars ou les nanas qui me cherchent, je peux facilement démarrer au quart de tour quand je ne suis pas d’humeur. Et je peux avoir beaucoup de rancune malgré ma nature joviale. Je souris et suis heureuse quand le bonheur frappe à ma porte, avant que la tempête nous rende visite. Mais c’est pour moi, l’occasion de sortir mes armes et me défouler…

    Sinon, je passe le plus clair de mon temps à rêvasser, lire, écrire ou composer. Le meilleur moment où je suis moi-même et sereine, c’est quand la pleine Lune s’accroche au ciel noir. Ainsi, assise sur une grande plaine en plein milieu d’une forêt, je peux laisser libre cours à mon imagination. Avec Leech qui brille avec des plumes ardentes de flammes, volant ou me berce des mélodies qui nous transportent dans cette torpeur indescriptible… Le calme…
    J'évite clairement d'utiliser les grimoires ou les potions, je n'aime pas vraiment ça. Je ne me soucie guère des lois, et j'utilise mon pouvoir quand je veux. Si je déteste bien une chose, ce sont les restrictions. Les règles sont faites pour être bravées, voilà ce que je me dis.  Et pous les autres créatures, je m'en méfie beaucoup et n'hésiterais pas à les tuer, s'ils me gênent dans ou m'empêchent de faire ce que bon me semble.

    Toutefois, j’aime particulièrement le plaisir charnel avec les hommes. Jouant avec le feu, les provoquer… le désir de la luxure, c’est vraiment intense comme sensation. Et on ne sait jamais où est-ce que ça peut nous transporter, c’est magnifique avec les amants idéals. Mais jamais je ne veux ressentir ce qu’est l’amour, d’après ce que j’ai vécu, je sais que ça fait mal.

    " Description physique et vestimentaire ? "

    Ah mais… ce n’est pas compliqué pour mes vêtements. Je ne porte quasiment que du noir, ou mélangé à du rouge ou blanc de temps à autre. Mon style peu aller des Docs Martens noirs, avec un jean et une veste en cuire, à converse-chemise ou bien… de la dentelle noire en robe, corset ou jupe.
    J’adore porter des bijoux en argent !... enfin, ça se limite à deux ou trois bagues avec un piercing au nez, et des boucles d’oreilles. Sans oublier un collier, ce dernier possède un pendentif qui représente un petit phœnix qui déploie majestueusement ses ailes. Il est composé de marbre noir mélangé à de l’argent… une vraie beauté.

    Quand à ma silhouette, elle reste assez basique, mais est dotée de belles formes avec une poitrine correctement proportionnée. Ma taille n’est pas très grande malheureusement, mais pas dérangeante. Ma peau est d’une couleur laiteuse, assez pâle. Pour  mes cheveux, ils sont fins et ombreux avec des mèches rouge cuivre, on voit plus des lueurs de cette couleur que les mèches. Ma chevelure arrive à mes épaules, lisse et ondule légèrement. Je les aime beaucoup, et j’en suis fière.
    Arrivant à mon visage, celui-ci possède des traits assez fins en étant d’une forme légèrement triangulaire. Puis mon nez est aquilin avec de fines lèvres rouges comme la cerise, mais mes yeux sont d’un rouge vermeil qui ne cessent de briller des éclats de cette teinte de couleur.


    "Quel est votre pouvoir ?" Contrôle de l’élément du feu.

    Au début de mon existence, j'avais une affinité sur tout ce qui touchaient aux flammes. Mais depuis ma rencontre avec Leech, j'ai complètement fusionné (ainsi en créer avec ma propre énergie)avec cet élément. Suite à mon humeur ou si je perds mon sang froid, mes flammes peuvent changer de nature qui se rapproche de plus en plus des ténèbres.Mais je détiens plus ma puissance de Leech.

    "Que pensez-vous du conflit ?"
    Je suis neutre, mais il peut m'arriver des mettre mon nez dans des affaires pour faire bouger les choses.

    "Vivez-vous avec votre famille ?"
    Pas de famille, rien, je suis complètement solitaire. Mon seul compagnon, c'est mon animal.

    "Dites-moi tout ce que je ne peux voir."
    Ma chevelure brune possède des mèches rouge sang, et j'ai un piercing sur le nez à ma narine gauche. Un collier en forme de phoenix en marbre noir mélangé à l'argent, ne quitte jamais mon cou.


"Bien. Maintenant, si l'on oubliait cette mascarade ?"

    Vrai prénom/surnom:Justine - Juju/Ju'
    Âge (faculatif):16 ans
    Avatar:Euh... je n'en ai pas vraiment.
    Où avez-vous connu le forum ? Google (facultatif)
    Qu'en pensez-vous ?  Hum... il a vraiment l'air d'être super ce fofo' !


"Règlement lu et Approuvé."
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